Réagir professionnellement. Même s’il s’agit de vous, essayez de ne pas le prendre personnellement, mais préférez voir cela comme un mécanisme de gestion plutôt que comme une attaque personnelle. C’est absolument essentiel pour maintenir un point de vue objectif sur la situation et réagir par des réponses constructives. Voir Comment accepter la critique avec grâce et reconnaissance.
Soyez prêt à montrer les systèmes que vous avez mis en place pour contrer la microgestion. Prenez un peu de temps pour rédiger un plan qui répondra aux questions soulevées par votre patron. Signaler les points faibles (voir Comment communiquer vos faiblesses) et fournir des preuves de la façon dont vous allez y remédier. Par exemple, si votre équipe continue de manquer des échéances, rédigez une proposition sur la façon dont vous allez éviter cela à l’av! enir. Vous pourriez proposer d’utiliser un système de tableau blanc d’équipe avec une série de mini-délais à respecter, une série de vérifications avec vous, et une vérification hebdomadaire avec votre patron. Vous pourriez prévoir un examen des progrès par le client au début de la répétition générale afin d’instiller l’urgence aux membres de votre équipe plus tôt dans la journée. Pensez aux moyens d’améliorer les efforts. Rapportez ce plan à votre patron et discutez-en avec lui.
Déterminez si le patron a raison ou non. Si vous pensez que cela vous a été injustement reproché, assurez-vous que ce n’est pas seulement votre sentiment personnel de honte qui est à l’origine de votre réaction d’indignation. D’un autre côté, si votre patron est réputé pour avoir mis son nez là où on ne veut pas de lui, il est probable que vous ayez raison d’être irrité d’apprendre que vous ne vous débrouillez pas bien seul. Essayez de ! voir les choses du point de vue de votre gestionnaire afin dâ€! ™y faire face objectivement :
Fais profil bas. Si vous avez vraiment l’impression que votre patron joue trop du violon et fait de votre vie une misère, il est parfois mieux d’aller avec elle pendant un certain temps jusqu’à ce que votre patron s’épuise ou trouve un autre projet d’animal à déranger. La microgestion est un comportement très épuisant et gaspilleur et rares sont ceux qui peuvent le maintenir jusqu’à un certain point. Si votre patron est un micro-manager pérenne, cependant, et cela vous cause beaucoup d’angoisse, il est peut-être temps de trouver un nouveau poste et un nouveau patron…
Utilisez un peu de flatterie. Dites que vous êtes parfaitement heureux que votre patron évalue votre rendement, mais que vous ne croyez pas qu’il soit nécessaire de l’impliquer à toutes les étapes du processus. Flattez-les en reconnaissant que vous comprenez que le temps de votre patron est précieux et qu’il a beaucoup de choses plu! s importantes à faire que de modérer ce que vous devriez faire correctement en tant que manager. Offrez une discussion hebdomadaire sur le bilan au lieu d’une microgestion ; de cette façon, vous gardez le contrôle et vous vous placez dans la position de discuter du progrès au lieu de le faire mesurer pour vous.
Réfléchissez à la façon dont vous pouvez réagir au désir professé de vous microgérer. Voici quelques points à considérer :
Rechercher une formation ou un perfectionnement. Si vous vous sentez comme un poisson hors de l’eau dans votre rôle et que vous pensez qu’une formation pourrait améliorer vos capacités de gestion, dites-le à votre patron. Il est utile de comprendre d’abord les politiques du milieu de travail sur la disponibilité de la formation afin de pouvoir présenter un argument solide à votre patron. Vous pourriez même bénéficier d’aider votre patron à réussir.
Bien performer. La vengeance la plus douce e! st de bien faire votre travail. Assurez-vous que vous répondez à votr! e description de travail et que vous faites les choses du mieux que vous le pouvez. Les ressources humaines peuvent être un allié si vous pouvez leur montrer comment vous accomplissez toutes les tâches que l’on attend de vous et les autres patrons remarqueront que vous faites ce que l’on attend de vous aussi. Parfois, il est préférable de poursuivre le travail et de laisser la fragilité du microgestionnaire se manifester d’elle-même.
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